Klaus Schwab va quitter son poste de président exécutif du Forum économique mondial : rapport


Selon un courriel interne, Klaus Schwab a l’intention de quitter ses fonctions actuelles à la tête du Forum économique mondial avant sa prochaine réunion annuelle. Il passera à un rôle de président non exécutif.

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Andreas
Wailzer

mar Mai 21, 2024 – 12:17 pm EDT

(LifeSiteNews) – Klaus Schwab devrait quitter son poste de président exécutif du Forum économique mondial (WEF).

Selon SemaforSelon le rapport du WEF, qui cite un courriel interne adressé au personnel du WEF, M. Schwab a l’intention de quitter son poste actuel à la tête de la puissante organisation mondialiste avant sa prochaine réunion annuelle en 2025 et de passer à un rôle de président non exécutif.

Alors que M. Schwab n’a pas annoncé son successeur, M. Semafor cite Børge Brende, homme politique norvégien et actuel président du WEF, comme candidat probable.

M. Schwab, qui a fêté ses 86 ans en mars, est synonyme de Forum économique mondial, dont il est le président depuis qu’il a fondé l’organisation en 1971. La réunion annuelle du WEF dans la petite ville de montagne de Davos, en Suisse, attire chaque année des dizaines de personnes parmi les plus puissantes du monde, dont les PDG des plus grandes entreprises et fondations et de nombreux chefs d’État.

Bien qu’il s’agisse officiellement d’une organisation à but non lucratif, le WEF est exceptionnellement riche. L’année dernière, il a réalisé près de $500 millions de recettes et disposait de 200 millions de francs suisses en espèces.

Schwab s’est fait connaître dans le monde entier lors de la crise du COVID en 2020, lorsqu’il a appelé à une réforme de la politique de l’emploi. Grande remise à zéroIl est partisan de ce que l’on appelle la quatrième révolution industrielle. Il est partisan de ce que l’on appelle la quatrième révolution industrielle, un programme technocratique et transhumaniste qui comprend la modification génétique des êtres humains et la fusion des humains avec les ordinateurs.

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L’influence de Schwab et du WEF va bien au-delà de la fourniture d’idées théoriques aux dirigeants mondiaux. Dans un discours prononcé à l’université de Harvard en 2017, Schwab s’est vanté de la manière dont le WEF « pénètre les cabinets » des gouvernements du monde entier, les principaux hommes politiques étant des anciens du programme « Young Global Leader » du WEF. Parmi les personnalités les plus en vue issues de ce programme figurent le Premier ministre canadien Justin Trudeau, le président français Emanuel Macron et l’ancienne Première ministre néo-zélandaise Jacinda Arden.

« Plus de la moitié des membres du cabinet [du Premier ministre Trudeau] sont en fait de jeunes leaders mondiaux du Forum économique mondial », a fièrement annoncé M. Schwab.

Schwab montre le type d’avenir qu’il imagine pour le monde lorsqu’il louanges les « réalisations » de la Chine communiste et déclare vouloir s’inspirer de sa vision. Au cours de la conférence « Davos d’été » Lors de sa visite à Tianjin, en Chine, M. Schwab a fait l’éloge du pays communiste, ce qu’il n’a jamais fait auparavant. fait à plusieurs reprises auparavant – en déclarant qu’elle « a obtenu des résultats remarquables dans les domaines de l’économie, du développement social, de la diplomatie et dans bien d’autres domaines ».

Une partie importante de l’État sécuritaire chinois est son système de crédit social qui punit les citoyens pour ce que le Parti communiste chinois considère comme un mauvais comportement. En utilisant des logiciels de surveillance de masse, tels que des réseaux de caméras avec reconnaissance faciale et d’autres outils biométriques d’IA, le gouvernement chinois a mis en place un « système orwellien de surveillance de masse et de police prédictive ». selon au Consortium international des journalistes. 

Dans un Rapport de synthèseLe WEF a admis que les cartes d’identité numériques peuvent faciliter « l’identification, la surveillance et la persécution d’individus ou de groupes ». Dans le même temps, il a continué à encourager fortement la mise en œuvre généralisée des cartes d’identité numériques et des monnaies numériques.

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Selon Klaus Schwab, celui qui contrôlera l’IA et le métavers « sera le maître du monde ».