Le problème de santé de François concerne autre chose

La Curie romaine estime que la mort de François est « une question de jours ou de semaines » ou « de quelques mois au maximum », écrit Caminante-Wanderer.Blogspot.com (29 mars).

« La gravité de sa maladie est un secret de polichinelle et a déjà été commentée en divers endroits [cancer du côlon].

La Semaine Sainte se fera sans lui. Les cardinaux Re (dimanche des Rameaux, veillée pascale), De Donatis (messe chrismale) et Gambetti (vendredi saint) le remplaceront.

Caminante note « l’étonnante incapacité de l’équipe de presse du Saint-Siège à gérer des situations de ce type ». On a d’abord prétendu que François était à l’hôpital pour des examens de santé programmés, puis qu’il s’agissait d’un problème cardiaque, et maintenant d’un problème respiratoire.

Selon lui, il s’agit d’une occlusion intestinale, qu’il qualifie de « prévisible compte tenu de la nature terminale de sa maladie ».

Il espère que la faction de François sera évincée lors du prochain conclave. Par exemple, l’épiscopat européen anti-catholique a élu le 23 mars l’évêque latin Mariano Crociata, Italie, comme président, une décision qui n’a pas été bien accueillie par François.

Mgr Crociata avait été nommé par Benoît XVI secrétaire des évêques italiens, un prélude au cardinalat. Mais Bergoglio l’a démis de ses fonctions et l’a renvoyé à « son humble siège ».

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